Le gestionnaire MCG et le manutentionnaire SMART se retrouvaient ce mardi 8 décembre devant le tribunal administratif. L’arrêté d’expulsion de cette dernière sous astreinte de 5.000€ par jour, devait prendre date le 9 novembre, prolongé au 12 par MCG, soit la veille des attentats parisiens. Sous état d’urgence, difficile de risquer un blocage du port, rien n’a donc bougé. Chaque partie a défendu ses intérêts hier, la SMART demandant d’attendre la décision de son pourvoi, non suspensif, en cassation.
Le délibéré sera rendu dans une quinzaine de jours.