11h15- « Il est possible que la convocation rapide de ce conseil portuaire en ait pris plus d’un de court », nous confie le président du conseil portuaire, Bourouhane Allaoui. Sur les 18 membres, il en manquait en effet 9, dont Ida Nel et un membre de sa société MCG, les trois membres de la CCI et le maire de Koungou. « Les thèmes qui devaient être abordés aujourd’hui seront repris lors du conseil portuaire du 11 février », précise le président du conseil portuaire.
Un problème quand on sait que les manutentionnaires de la SMART ont refusé de travailler les bateaux de la compagnie CMA-CGM, et que Longoni en attend un, le « JPO Léo », ce 30 janvier.
10h10- Le conseil portuaire qui avait été décidé en urgence à la suite de la demande du préfet, n’a pas pu se tenir « faute de quorum », indique Bourouhane Allaoui, son président. Il s’agissait de mettre en application la convention du 23 décembre, octroyant à la SMART l’Autorisation d’occupation de la zone portuaire, et précisant l’accord de partenariat avec le gestionnaire MCG.
Rappelons que cela fait plus d’un an que cette assemblée vitale à l’activité du port ne s’est pas tenue, alors qu’elle doit être semestrielle.
A.P-L.
Le Journal de Mayotte