REVUE DU PRESSE. «Le fils du Président dénoncé». Evidemment, «l’affaire fait grand bruit» et la Une de la Tribune de Madagascar.
Le fils du chef de l’Etat malgache a été désigné comme faisant partie de «ceux qui ont tiré sur les exploitants» des mines de cristal, avec un mort à déplorer, le 21 février dernier. Les victimes «réclament ainsi justice et la tête du fils de ce haut dirigeant», explique le journal.
Cette histoire est celle d’un conflit foncier sur une exploitation minière opposant proches du chef de l’état et les exploitants miniers. «Le désaccord a duré depuis plusieurs mois, chaque camp dispose de documents officiels attestant son droit sur le même terrain. Finalement, le fils de ce haut dirigeant, las des disputes et assisté par des éléments de forces de l’ordre ont fait une descente sur place et auraient tiré sur les exploitants miniers qui ont pris la fuite», relate la Tribune.
«Un de ces exploitants est porté disparu et ses proches soupçonnent les forces de l’ordre dirigées par le fils du président d’avoir enterré le corps car il a été blessé lors de la fusillade. Les exploitants miniers auraient porté plainte et demandent des comptes»… Une nouelle affaire come les aime Madagascar où intérêts politiques et économiques se mélangent aux tentations mafieuses.
Sur les traces des débris d’avions
Du côté du Mozambique, le journal Libération suit les rebondissements de l’enquête liée à la disparition mystérieuse du vol MH370 de la Malaysia Airlines. «Le débris d’avion retrouvé au Mozambique attendu en Australie pour des analyses», explique le quotidien.
«Ce morceau d’avion d’environ un mètre de long a été exposé pour la première fois jeudi à Maputo par les autorités mozambicaines, peu avant la publication d’un rapport provisoire d’enquête le 8 mars, deux ans jour pour jour après cette disparition devenue l’un des plus grands mystères de l’aviation civile.»
L’Australie, qui dirige les recherches dans l’océan Indien, devrait conclure d’ici au mois de juillet ses opérations concentrées dans les profondeurs d’une zone délimitée où pourrait se trouver l’épave.
Un américain sur la piste
Le Journal de l’Île de La Réunion apporte un éclairage particulier à cette enquête. «De la Réunion au Mozambique, un Américain sur les traces du MH370», relate le JIR.
«Blaine Gibson, l’Américain qui a trouvé sur un banc de sable au Mozambique un débris qui pourrait bien appartenir au B.777 de la Malaysia Airlines, était venu à la Réunion en septembre 2015 après la découverte du flaperon à Bois-Rouge par Johnny Bègue. Passionné par le mystère du vol MH370, Blaine Gibson traque les indices d’un bout à l’autre de l’Océan Indien. Il avait rencontré Johnny Bègue, le seul à ce jour à avoir trouvé une pièce que les experts ont formellement rattaché au Boeing 777 200ER de la Malaysia Airlines».
L’Américain, avocat à Seattle, s’était précipité à la Réunion «pour arpenter pendant trois jours le littoral de Saint-André. Il est attiré par tout ce qui est mystérieux. La disparition du MH370 le fascine. Ce qu’il cherche, ce sont des réponses à un des plus grands mystères de l’aéronautique moderne», raconte le JIR.
Son enquête personnelle, Blaine Gibson l’a donc poursuivi au Mozambique dans l’archipel Bazaruto, un groupe de cinq îles dans le Canal du Mozambique, situées le long de la côte mozambicaine. Les îles s’allongent du nord au sud sur environ 55 km et sont distantes d’une quinzaine de kilomètres en moyenne de la côte du Mozambique. C’est donc à cet endroit que de nouvelles données pourraient lever un peu du mystère de la disparition du vol MH370.
La vidéo pour la justice
Aux Seychelles, «le premier système de preuve par vidéo pour les tribunaux est opérationnel». L’information est donnée par l’agence de presse seychelloise.
Ce système permet aux personnes en détention provisoire à la prison de la Montagne Posée d’avoir le choix de se soumettre aux procédures juridiques sans avoir à quitter l’établissement correctionnel.
«Beaucoup de prisonniers refusent de faire le trajet à l’Ile Du Port, notamment parce que le véhicule est bondé. Ils préfèrent rester à la prison de Montagne Posée et le tribunal ordonne leur détention provisoire», explique l’agence.
«C’est important car certains experts sont en déplacement et peu importe où ils se trouvent dans le monde, ils peuvent interagir avec le système en utilisant leurs téléphones mobiles aussi longtemps qu’ils ont du réseau».
Protéger éléphants et rhinos
Enfin, direction le continent pour terminer où le sort des grands mammifères mobilise de nouveaux moyens de protection. «Au Kenya, des chiens renifleurs, nouvelle arme contre le trafic d’ivoire», explique Le Monde. «Dans la guerre que mène le continent africain contre le braconnage de dizaines de milliers d’éléphants chaque année, le Kenya a élargi son arsenal en se dotant d’une brigade de chiens renifleurs d’ivoire, à l’image de ceux déjà utilisés pour détecter drogues ou explosifs.» La vidéo est à découvrir par ici.
Quant aux rhinocéros, ils ont eux aussi le fervent défenseur. «Un richissime homme d’affaires sud-africain a tout vendu pour se consacrer » nous apprend 20 minutes en créant «le plus grand ranch de rhinocéros au monde».
Il protège ses 1.200 rhinocéros 24h/24 avec une armée privée. Alors que les braconniers tuent les animaux pour prélever leur corne, lui enlève les cornes de ses animaux d’élevage en espérant un jour les vendre et ainsi arrêter le massacre. «L’éleveur se bat en justice pour pouvoir un jour revendre légalement les cornes et réinvestir l’argent dans son ranch». Une vidéo à visionner par là.
RR
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