Hier dimanche, la nouvelle s’est répandue comme une trainée de poudre : un kwassa chargé d’armes aurait été intercepté à Poroani par les forces de l’ordre. Nous avons contacté la gendarmerie qui nous a démenti les faits et indiqué que tous les jours ce genre d’information circulait dans le sud. La crainte d’une réaction de ressortissants comoriens face aux expulsions alimente ces informations.