Les autorités ne communiquent plus sur les interceptions quotidiennes de kwassas. Les arraisonnements se poursuivent pourtant, comme en témoigne les deux embarcations stoppées samedi dernier, le 22 juillet, avec 56 personnes à leur bord.
Tous les passagers des barques interceptées ont été présentés à leur arrivée à une infirmière puis remis aux fonctionnaires de la PAF pour placement en rétention administrative avant éloignement.