Une réunion s’est tenue en préfecture à midi, entre les représentants des transporteurs et l’association des maires, et en présence du directeur de cabinet. En dehors de la demande de rondes régulières de la part de la police municipale aux heures de rentrées et de sorties des établissements, heures de tension, rien de concret n’en est ressorti. Seul le président de l’association des maires Saïd Omar Oili et la maire de Chirongui Roukia Lahadji étaient présents, « il n’y avait ni la mairie de Mamoudzou, ni celle de Koungou », déplore les transporteurs Matis et Tama ya leo na meso.
Ils ont par conséquent décidé de reconduire le mouvement. Il impacte environ 50% de la présence des scolaires dans les établissements selon le vice-rectorat.