Les syndicats patronaux de la CPME et la CAPEB qui ont rencontré les leaders syndicaux mercredi n’ont pas d’autre choix que de s’en faire les portes-paroles. Dans un courrier adressé à leur tour au premier ministre, ils demandent l’envoi « d’un émissaire pour entendre la détresse des Mahorais », et de « répondre à l’urgence du retour à la sécurité ». (Lire Lettre au Premier Ministre 21 mars 2018)
Ils disent redouter »un durcissement du mouvement » qui aurait « des conséquences dévastatrices pour les entreprises et pour l’avenir de l’île et de ses habitants. (…) Si le pire arrivait, votre responsabilité sera lourde », évoquent-ils. En rappellant que la grève de la vie chère « a coûté à notre île 3.000 emplois ».
113272 757111I see something genuinely intriguing about your internet website so I saved to bookmarks . 188617
425496 974533I enjoy this web site, will definitely arrive back. Make confident you carry on writing high quality posts. 515322