La légitimité de l’élue est d’avoir assuré en temps la présidence de la structure, à la suite de l’ancien président Zaïdani.
Bichara Bouhari Payet reproche l’éviction de celui qui avait été nommé directeur après la cessation de paiement de septembre 2018, « le nouveau a été nommé sans autorisation ni délibération du conseil départemental. Il s’agit en fait de la nouvelle PDG par interim, la conseillère de Sada Insya Daoudou, dont le salaire n’a pas été clairement mentionné, reproche Bichara Bouhari Payet, « entre 5.500 et 6.000 euros ».
Elle déplore également que les anciens projets sur lesquels ont bossé des cabinets d’étude n’aient pas été repris, « comme la fameuse cité administrative », alors que les blocages fonciers avaient été levés.
En bref, l’élue regrette que la structure n’ait pas été fermée, alors que sa réactivation ne s’est pas accompagnée de la présentation de projets. Le président avait indiqué lors de la commission permanente, que la SPL976 se consacrerait désormais à la construction des infrastructures sportives.
Dans un courrier envoyé au président du CD, elle réclame également d’avoir des précisions sur les conditions de la longue absence de la 1ère vice-présidente, Fatima Souffou. Tout en révélant les raisons précises liées à cette absence de 9 mois… Comme nous l’avions révélé, l’élue avait démissionné en septembre 2018 du conseil municipal de Dzaoudzi.
A.P-L.
La SPL est un excellent moyen de détourner l’argent public, elle a déjà démontrée son efficacité alors pourquoi s’en priver ? ?
5500 et 6000 euros pour quels résultats ?? ?!