Le Comité Opérationnel Départemental Anti-Fraude (CODAF) co-présidé par Dominique Sorain, préfet de Mayotte, délégué du gouvernement et, Camille Miansoni, Procureur de la République, poursuit le déroulement de son plan annuel de contrôle.
Dans le cadre de la lutte contre la commercialisation illégale des produits de la mer, deux sites illégaux situés à Tsoundzou 1 et M’tsapéré ont été contrôlés vendredi 22 mars et samedi 23 mars 2019.
Au cours de deux actions coordonnées entre les services de la police nationale, de la brigade nautique de la gendarmerie, de la police aux frontières, de l’UTM DMSOI (affaires maritimes), de la DAAF (service alimentation) et de la DIECCTE (inspection du travail), une quinzaine de revendeurs illégaux de poissons et produits de la mer ont fait l’objet d’un contrôle.
680 KG de poissons et produits de la mer impropres à la consommation ont été saisis et feront l’objet d’une destruction par la DAAF. En outre les différents services de l’État présents ont procédé à la confiscation des recettes pour une valeur de 687 euros et du matériel des revendeurs (glacières, brouettes, balances).
Pour la revente de ces produits de la mer en dehors des lieux déterminés, achetés en grande partie à des pêcheurs illégaux, sans respect des règles sanitaires et sans pesée des produits, l’ensemble de ces revendeurs seront poursuivis. En outre, des procédures pour travail dissimulé seront engagées à l’encontre de tous les revendeurs et travailleurs indépendants qui n’ont pas déclaré leur activité.
Outre la concurrence déloyale engendrée ainsi que les dangers immédiats pour les consommateurs et la nécessité pour ceux-ci de s’approvisionner dans les lieux de vente agréés, le CODAF rappelle que la commercialisation des produits de la mer doit se faire par des revendeurs possédant un agrément et pouvant justifier immédiatement de l’origine et provenance des poissons et divers produits de la mer. A défaut, une mesure administrative de retrait du marché et de destruction est mise en œuvre.
En outre tous les revendeurs et travailleurs indépendants doivent être immatriculés auprès de la chambre de commerce ou des métiers et les salariés doivent faire l’objet d’une déclaration préalable à l’embauche déposée à la Caisse de Sécurité Sociale de Mayotte.
Le CODAF va organiser de nouveaux contrôles dans les prochains jours et appelle tous les commerçants à respecter la réglementation en vigueur ou à se mettre en conformité sans délai.
Et la PAF n’a pas fait le reste ?
Franchement, ils n’ont rien d’autre à faire que de s’en prendre aux pauvres qui luttent aux quotidien pour joindre les deux bouts. Et à chaque fois, ils ont de quoi se justifier : revendeurs illégaux de poissons, tomates à forte concentration de pesticides et j’en passe. Je comprends parfaitement pourquoi les essaims de séismes et météorite font tacitement un rappel à l’ordre aux autorités compétentes de Mayotte, qui ne captent toujours pas ces messages. Arrêtons de nous en prendre facilement aux pauvres en avançant comme raison » c’est le règlement ou c’est la loi « , car vous devenez des créatures haineuses et sans coeurs. Vous me foutez la honte. Si certains d’entre vous prétendent qu’ils n’ont pas de leçon à recevoir de quiconque, pour moi, c’est la vertu qui prime, rien de plus.
Said Hassane laisse les faire leur boulot s il les faisaient pas et qu on tombe malade on serait les premiers à se plaindre
La lutte contre l’illégalité doit être implacable sur cette île
Said alias, je suis un simple humain comme vous, rien de plus. Cependant, j’aimerais bien que ces responsables s’en prennent un peu plus à ceux qui ne payent jamais de taxe, qui gagnent trop, et vivent dans l’impunité totale, pire encore qui plongent certains jeunes dans une délinquance irréversible, je veux tout simplement parler de ces trafiquants de stupéfiants, qui pullulent comme de la mauvaise herbe. Une question pour vous : imaginez ! Vous devez appliquer la loi, incarcérer un père de famille qui vit seul avec ses 7 enfants à bas âges et qui subvient aux besoins de ses enfants. La question est : vous appliquez la loi en mettant ce père de famille en prison, ou bien vous faites exception à la règle, vous laissez le père en liberté provisoire dans le but de ne pas mettre la vie de ces 7 enfants en danger de mort. J’aimerais bien que les plus récalcitrants repondent à ma question, sans pour autant chercher à contourner la question, si possible. Merci.
Tous ça c’est de la com
Il faut que l’ETAT fasse son travaille en contrôlant ses gens car c’est notre santé publique qui est en jeu…
On est pas dans une république bananière…
On est dans un département français…
Il les ont saisis pour les vendre au COPEMAY pfff pathétique les gens se lèvent prennent le large en espérant ramener quelque pour pouvoir subvenir à sa famille au retour moussi renga mwana ankiba waher
Vous avez tous grandi en mangeant comme ça voir pire et aujourd’hui vous êtes toujours vivant mdr arrêter de faire les msoungou fragile là
Bandes de negro en carton fragilisé
Pas seulement le poissons nous ne voulons plus voir les vendeuses au bords de nos routes ça donne vraiment une mauvaises images et de la saleté..!