Agression d’un policier et de son fils dans un cadre privé

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Le 7 novembre 2019, quatre policiers en séance de sport, dont un était accompagné de son fils, ont fait l’objet d’une violente agression de la part de jeunes qui les avaient identifiés.

Les policiers qui étaient en séance de sport au stade de Pamandzi en dehors de leur cadre professionnel, ont été reconnus par leurs agresseurs selon le syndicat Alternative Police, qui rapporte les faits : « Les individus ont commencés par jeter des bouteilles en verre dans leur direction puis des briques au risque de les blesser gravement voire même d’attenter à leur vie. Ne comptant que sur leur courage, leur professionnalisme et leur sang froid, les policiers ont réussi à procéder à l’interpellation de l’un des individus qui n’a pas hésité à utiliser un couteau de cuisine et tenter de porter des coups à l’abdomen d’un des policiers qui arrivera finalement à maîtriser l’individu. »

A ce moment, les autres individus sont de nouveau intervenus « en jetant une pluie de pavés permettant à l’interpellé de s’enfuir. Il est actuellement recherché par la gendarmerie. »

Alternative Police dénonce une nouvelle fois « le climat d’insécurité à Mayotte quelques jours après la visite du Président de la République », et attend des autorités « que le maximum de moyens soit déployé afin de garantir la sécurité des policiers et de leurs familles ».

Le syndicat souhaite également que des renforts en personnel et en matériels soient envoyés rapidement à Mayotte.

« Enfin, Alternative Police attend que la justice soit de la plus grande fermeté et de la plus grande intransigeance contre tous ceux qui s’en prennent aux forces de sécurité. »

 

 

30 Commentaires

  1. “Enfin, Alternative Police attend que la justice soit de la plus grande fermeté et de la plus grande intransigeance contre tous ceux qui s’en prennent aux forces de sécurité.”
    D’après cette article, est pourquoi uniquement à ceux qui s’en prennent aux forces de sécurité? La population a aussi droit à une justice en vers ces vermines qui prennent en otage une île toute entière. Encore une fois, si le mineurs ne sont pas condamnables, il faut punir les parents. On sait tous que la plupart des ces gosses leurs parents sont des clandestins.

  2. Cette situation est vraiment regrettable. Une grande prière commune est indispensable pour demander la bénédiction de notre seigneur, et aussi prier pour calmer les esprits des jeunes qui se croient tout permis : mgou na watroulize zeroho wake makini wakena imani, amen.

    • Said Hassane aque dieu me pardonne mais « ces sangsues  » ne croit pas en dieu .car si c’était le cas ils ne seraient pas descendus à la mosquée de vendredi a Pamandzi lors dun Maoulida pour agresser a coups de couteaux des gens qui étaient labas

    • Yan Elaïs Ela : je ne pense pas que l’intervention seule des parents puisse faire quelque chose dans ce genre de situation. Il faudrait plus qu’un miracle, donc, je persiste et signe, nous avons éminemment besoin de prières pour que notre créateur accepte de calmer les esprits de ces jeunes en pleine crise d’adolescence : mgou yawatroulize ziroho.

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