Un nouveau café naturaliste sera organisé au pôle culturel de Chirongui le mardi 17 mars à 19h30.
L’industrie sucrière de Mayotte a démarré en 1844 et s’est développée durant un siècle, avant de s’éteindre définitivement en 1955. Cette période a eu une grande influence sur le développement de l’île. Elle intervient à un moment clé, puisque elle précède l’abolition de l’esclavage à Mayotte, en 1847. De nombreux travailleurs « engagés » ont alors été recrutés aux Comores et surtout sur la côte du Mozambique pour travailler dans les usines de Mayotte.
La conférence, animée une nouvelle fois par Michel Charpentier, s’appuiera sur l’exemple des vestiges de Miréréni Bé, un site entretenu par la commune de Chirongui qui souhaite en faire un atout touristique et conserver une partie importante de l’histoire de Mayotte, alors que les vestiges des autres sites de l’île ont été détruits, déplacés ou se détériorent au fil du temps.
Les derniers vestiges vont finir de disparaitre ! Chaque jour la situation empire pour les vestiges l’usine de Soulou.!!! Pourtant , une belle somme a été allouée pour sa « conservation » par le loto du patrimoine 2018. Il est passé où cet argent ? QUEL AVENIR ? Pour un PEUPLE qui OUBLIE SON PASSÉ, Ses RACINES ? Et les LAISSE POURRIR !
Coco Nolan Comme moi, vous le savez ! Coco Nolan L’avantage : je ne suis pas originaire de l’ile ! Donc j’ai plus de recul sur les multiples candidats familiaux et autres ! La perte de Mayotte, en fait , est là ! Surtout on ne touche pas à la famille … Même si elle a piqué dans le pot de confiture et qu’elle est « dans l’opposition » … Elle sera dans la future majorité ! Un peu comme le système tribal de l’Albanie !
Coco Nolan Mais c’est ce qui cache le reste ! Chaque famille est débitrice de quelque-chose !