Inégalité devant la fracture numérique, relance de l’économie par des parents qui n’auront plus à garder nos enfants, et amélioration de l’immunité collective, voilà les trois raisons ont incité le président de la République à rouvrir les crèches, écoles, collèges et lycées, « une priorité ».
Une nouvelle accueillie fraichement par les syndicats d’enseignants, notamment le SNUipp-FSU dans le primaire. Il pointe la difficulté de faire respecter les gestes barrière dans les écoles « surchargées » de Mayotte, « sans parler des problèmes d’hygiènes récurrents, de l’absence de gants, masques… »
Il souligne que « le CHSCT ministériel du 3 avril a demandé qu’il faudrait tester tous les personnels et élèves avant la reprise … En totale contradiction avec la position du Président de la République qui annonce que le dépistage ne sera proposé qu’aux personnes qui ont des symptômes. »
Le secrétaire départemental Rivo Rakotondravelo, demande « des tests, des masques pour les élèves et les enseignants », et une désinfection quotidienne des écoles, tout en s’interrogeant sur « les défaillances de nos maires sur ces genres de responsabilité ».
La fameuse « immunité collective » celle qu’ont essayé les pays nordiques avant de faire demi-tour illico presto…?
Ah oui, j’avais oublié, nous les français, ont aimé faire différemment des autres…
Sinon, les gens savent qu’il fait super chaud dans les classes (32°C toute la journée pour moi avec mes 30 GS). Porter un masque dans ces conditions, c’est de la torture!!!
C’est tout simplement dérisoire, c’est une demande qui n’a pas de sens..
Les syndicats doivent revoir leurs copines.
Reprendre les cours alors qu’une crise sanitaire majeur frappe la population est une bêtise, une grosse bêtise.
On va tomber comme des mouches!! Pourquoi s’être arrêté pour reprendre dans les mêmes conditions qu’au début du confinement,finalement….???