Condamnés à de la prison ferme mais sans incarcération immédiate, le sort de trois braconniers a suscité l’indignation des militants de la protection des tortues à Mayotte.
Comme l’on pouvait s’y attendre, le parquet qui avait demandé le mandat de dépôt à l’audience confirme avoir fait appel du jugement, ouvrant la voie à un nouveau procès.
La jurisprudence de la chambre d’appel est plutôt sévère en matière de braconnage, avec des demandes d’incarcérations et des peines allant jusqu’à deux ans de prison.