Lors de sa réunion du 26 juin, le Conseil d’administration de l’Unédic a décidé à de revaloriser les allocations chômage.
À partir du 1er juillet 2019, l’allocation minimale, la partie fixe de l’allocation d’aide au retour à l’emploi (ARE), et le seuil minimum de l’ARE pour les allocataires effectuant une formation sont revalorisés de 0,70 %. De même, les salaires de référence intégralement constitués par des rémunérations anciennes d’au moins 6 mois servant au calcul de l’allocation augmentent de 0,70 %. Cette revalorisation concerne 94% des demandeurs d’emploi indemnisés par l’Assurance chômage au 1er juillet 2019, soit environ 2,6 millions de personnes. Les allocations chômage sont également revalorisées à Mayotte, dans les mêmes proportions.
La revalorisation de l’allocation minimale et de la partie fixe s’applique à l’ensemble des allocataires concernés par ces paramètres dès le premier jour de leur revalorisation. L’augmentation des salaires de référence concerne quant à elle les allocataires indemnisés depuis plus de 6 mois, soit environ 2,2 millions de personnes.
Pour environ 380 000 allocataires, seule la revalorisation de la partie fixe s’applique.
À Mayotte, l’allocation minimale est portée à 14,62 € par jour contre 14,52€ par jour actuellement, contre 29,26 euros sur le reste du pays. L’allocation minimale ARE formation passe à 10,48 € par jour en cas de formation (10,41 € par jour actuellement), contre 20,96 euros sur le reste de la France.
Les discours anti-mahorais n’ont pas leur place ici. Rentrez chez vous vomir votre haine.
Et pourtant tout ce qui est amende, impôts, taxes, demeurent 100% du montant national.
Très insuffisant, à mes yeux. Je dirais même que c’est négligeable : 0,7 /100, l’état n’a rien fait comme geste à l’égard des allocations chômage.