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Constatant depuis quelques semaines une augmentation de la fréquence du braconnage sur la plage de Titi Moya, longeant la piste de l’aéroport, côté océan en Petite Terre, l'association Oulanga na Nyamba a décidé de passer la vitesse supérieure en informant systématiquement la gendarmerie maritime. Bien lui en a pris

La commune de Bandrélé procèdera à une distribution de bons d’achats correspondant aux collations et repas scolaires non livrés durant la période de confinement. Les...

Vers 8h, un premier tir de grenade lacrymogène laissait entendre aux habitants qu'une nouvelle opération était en cours à la suite des évènements de...

Ils n’ont pas eu besoin d’installer les tentes d’un hôpital de campagne : les soignants de l’ESCRIM ont été accueillis entre quatre murs de peinture fraiche à l’hôpital de Pamandzi, et y ont même fait de la réanimation. Un bol d’oxygène pour tous, et une avancée qui en appelle d’autres, annonce Dominique Voynet

Un zébu au détour d’un virage, des chiens en meute sur la plage, voilà quelques frayeurs que ne devraient plus se faire les habitants de Mtsamboro. Depuis ce 1er mars, la commune s’est engagée à mettre un terme aux divagations animales à l’appui d’une fourrière et de l’association Gueules d’amour.

Le Conseil économique, social et environnemental de Mayotte (Cesem), s’est réuni en séance plénière virtuelle ce lundi pour plancher notamment sur l’avis rendu fin décembre par l’autorité environnementale quant à la piste longue. L’occasion pour le conseil de rappeler sa volonté de voir les travaux avancer, quitte à omettre quelques éléments de l’avis initial.

Le pic épidémique serait-il derrière nous ? C'est ce que l'on serait tenté de lire à travers les chiffres du dernier bulletin publié par l'Agence régionale de santé. L'épidémie qui a fait une nouvelle victime est pour autant toujours très présente, tout comme la pression qu'elle exerce sur l'hôpital.

Ambdilwahédou Soumaila et Vanessa Miranville, respectivement maires de Mamoudzou et de La Possession cosignent une lettre ouverte pour alerter sur « l’urgence sanitaire dans l’océan Indien » et réclamer une plus grande solidarité nationale.

Les pluies du week-end auront eu raison des capacités de traitement de l'usine de Bouyouni, l'alimentation en eau des communes de Koungou, de Mamoudzou et de celles de Petite-Terre est de ce fait fortement perturbée ce jour.

« Ce quartier de Jamaïque, c’est un Etat dans l’Etat ! » Les habitants des hauteurs de Koungou, derrière la mairie, ont vécu 24 heures traumatisantes face à des bandes de jeunes et d’adultes qui ont brûlé et pillé des habitations en représailles au futur démantèlement de leur quartier. Ils appellent la préfecture au secours dans un courrier